Parfois, chers éditeurs, le mieux est l’ennemi du bien. A vouloir trop signaler le succès d’un livre, à vouloir à tout prix en faire un objet conceptuel et original, on se retrouve à faire grincer des dents le lecteur ou la lectrice qui n’en demandait pas tant. J’ai déjà dit l’agacement que me causaient la
Parfois, chers éditeurs, le mieux est l’ennemi du bien. A vouloir trop signaler le succès d’un livre, à vouloir à tout prix en faire un objet conceptuel et original, on se retrouve à faire grincer des dents le lecteur ou la lectrice qui n’en demandait pas tant.
J’ai déjà dit l’agacement que me causaient la prolifération de certains bandeaux rouges ou bleus signalant, à des fins publicitaires, que le livre est recommandé par tel journal, qu’un prix a couronné celui-là, que l’auteur ou l’autrice de celui-ci a cette tête avenante, que telle ou telle photo attirante reflète merveilleusement le contenu de l’ouvrage. Mais au moins cet accessoire peut-il s’avérer utile, notamment comme signet. Et surtout, le retirer ne causera aucun tort au livre lui-même.
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